C’est quoi le RCC ?

Le régulateur de croissance contrôlée

C’est un Appareil Médical qui a pour but d’aider et de ré-harmoniser la croissance crânio-faciale et les fonctions oro-faciale de votre enfant tout en améliorant la position de ses dents.
C’est un Exemplaire Unique Fabriqué à partir de l’empreinte de votre enfant, il répond à la chartre de l’ordre des chirurgiens-dentistes sur les appareils prothétiques ainsi qu’aux règles d’appareillage de L’ISFESO ® Il est amovible afin d’être mieux accepté psychologiquement par l’enfant et pour une meilleure hygiène.
Le RCC® n’est posé que sur la mâchoire du haut, son activation est contrôlée par la réaction naturelle et individuelle de la mâchoire du bas qui contient la langue. Toute une gamme de couleur au choix de votre enfant, avec ou sans paillette.
Est reconnaissable par son logo, vous garantissant un appareillage fabriqué dans les laboratoire B.A.S®.

Les particularités du RCC

Esthétique

Diminution des douleurs et traumatismes

Confort et individualité

Hygiène

Unique et Efficace

Sans Contrainte de Rendez-Vous

Le Mot de L’inventeur du RCC

Le Dr Bergeyron s’adresse à vous.
Est-ce que ce traitement garantit que les dents seront plus tard parfaitement alignées et qu’il n’y aura plus rien à faire ? Certainement pas. D’après Dr Patrice Bergeyron, certains confrères qui soignent de jeunes enfants disent aux parents qu’un traitement d’éducation fonctionnelle permettra d’éviter tout problème dans le futur, mais cela peut s’avérer faux. Le but de l’orthopédie dentofaciale est d’arriver à une croissance naturelle des mâchoires, et en donnant davantage de place aux dents définitives il est vrai qu’un certain nombre de problèmes d’orthodontie seront évités, mais il s’agit de deux métiers différents. L’orthopédie redresse la mâchoire, l’orthodontie recherche la perfection. Ce n’est pas parce que des mâchoires s’emboitent parfaitement qu’il est forcément garanti que les deux incisives seront impeccablement alignées, comme deux miroirs à côté l’un de l’autre. C’est un résultat que l’on peut obtenir, mais qui relève de l’esthétique. Par contre, l’enfant qui aura été traité jeune en orthopédie dentofaciale fonctionnera bien, il respirera mieux, il se sentira vraiment mieux. Le Dr. Patrice Bergeyron affirme que lors de sa préparations pour les concours d’orthodontie, ce dernier à focaliser la majeur partie de son travail sur la croissance, en passant un certificat d’embryologie cranio-faciale et un certificat de physiologie oro-faciale et développement, pour lesquels il rédigea deux mémoires. Cela lui a donc permis d’obtenir de l’expertise sur la façon dont se passe la croissance des mâchoires chez l’enfant, et comment faut-il la faire fonctionner pour l’aider à se développer harmonieusement.

Le Dr. Bergeyron témoigne qu’il entend souvent des patients lui dire : « avec votre traitement, le sourire est beau ». Qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que l’on n’a pas obtenu un sourire uniforme. Et c’est le but : ne surtout pas uniformiser. Ne pas mettre les mêmes fils, les mêmes bagues, à tous les enfants. Au contraire, en stimulant individuellement la croissance, on obtient toujours un résultat individuel, qui correspond au maximum de chaque enfant. C’est le sens même de la méthode qu’applique Dr. Bergeyron : « Obtenir le maximum de chaque enfant, en étant sûr de ne pas le transformer et de ne pas l’exposer à des effets secondaires. Je pense que j’y suis arrivé. Je n’en suis pas encore certain, mais en tout cas je sais que quand je mets mon appareil je ne prends pas de risques, que l’enfant ne prenne pas de risques, que les parents ne prennent pas de risques. Au pire, il ne se passe rien et dans ce cas-là on arrête le traitement mais dans la majorité des cas les enfants sont beaucoup mieux, avec souvent des résultats spectaculaires. Mais ce n’est pas simple. Quand elle est bien pratiquée, l’orthodontie n’est jamais simple, c’est un métier à part, dans lequel le praticien doit s’adapter en permanence aux effets de la croissance naturelle du jeune patient. Beaucoup d’orthodontistes n’adhèrent pas à cette technique parce lorsqu’on entreprend de soigner un enfant jeune, il ne faut pas le lâcher, mais l’accompagner jusqu’à ses 10-12 ans. Pour ma part, j’estime qu’un traitement est fini quand la dernière dent est au bon endroit. »

Informations techniques :